domingo

Et si tu n'existais pas (1975) - par Joe Dassin -

Nota prévia: uma das vantagens do Macroscópio é não ter agenda fixa, tanto pode falar de política, de petróleo, de economia e financas (sem "ç") como de ballet contemporâneo, para a seguir nos espetarmos com o bom do Joe Dassin na esquina da memória - que é para desentopir os neurónios. Assim, sem mais, sem agenda - mas com alma. Sempre com alma. A alma do tempo. Um tempo que não se vê, só se sente. E às vezes sente-se mal. Sente-se, deite-se, ouça J.Dassin...
Esta é dedicada ao senhor meu Tio - autor do Memórias Futuras - por alma de quem o tempo não passa, ou se passa tem passado lenta e suavemente na pena dos dias, na pena das Prima(s)-Veras...
Joe Dassin (aqui) Et si tu n'existais pas Dis-moi pourquoi j'existerais? Pour traîner dans un monde sans toi Sans espoir et sans regret Et si tu n'existais pas J'essayerais d'inventer l'amour Comme un peintre qui voit sous ses doigts Naître les couleurs du jour Et qui n'en revient pas
Et si tu n'existais pas Dis-moi pour qui j'existerais? Des passantes endormies dans mes bras Que je n'aimerais jamais Et si tu n'existais pas Je ne serais qu'un point de plus Dans ce monde qui vient et qui va Je me sentirais perdu J'aurais besoin de toi
Et si tu n'existais pas Dis-moi comment j'existerais? Je pourrais faire semblant d'être moi Mais je ne serais pas vrai Et si tu n'existais pas Je crois que je l'aurais trouvé Le secret de la vie, le pourquoi Simplement pour te créer Et pour te regarder
Et si tu n'existais pas Dis-moi pourquoi j'existerais? Pour traîner dans un monde sans toi Sans espoir et sans regret Et si tu n'existais pas J'essayerais d'inventer l'amour Comme un peintre qui voit sous ses doigts Naître les couleurs du jour Et qui n'en revient pas